Thierry Darbellay

Homme multi-casquettes, de l’humour à la santé, du coach au corps de rêve, Thierry Darbellay est un artiste à découvrir sans modération. Rencontre avec celui qui nous veut du bien et rien que ça.

Bonjour Thierry comment allez-vous ?

J’adore cette question qui est de nos jours posée machinalement et à laquelle on répond un automatique : bien et toi ?

Mais au fond si on creuse un peu en allant plus loin on s’aperçoit que la plupart des gens ne se rendent plus compte à quel point ils ne se sentent pas bien, nous sommes pris dans la roue du rat et nous nous posons rarement véritablement la question :Est-ce que je me sens vraiment bien dans ma vie ? Si la réponse est non, que vais-je pouvoir faire pour réaliser enfin ce que je souhaite , comment vais-je pouvoir réaliser mes rêves de gosses et pas ceux dictés par la société qui souvent nous met dans des cadres prédéfinis. Je n’ai jamais supporté être mis dans le cadre normal de la société ça me rendait malheureux et pourtant j’y suis resté longtemps sans m’en rendre compte. A vouloir devenir quelqu’un que je ne suis pas ? ça te parle ? Aujourd’hui je peux te répondre que je vais bien et je renais à 37 ans. J’ai l’impression d’être né le jour où Johnny est mort… Est-ce que je me sens toujours bien ? Non je suis un humain comme toi, par contre j’ai appris à me poser des questions et à agir malgré mes peurs, mes angoisses et mes doutes. Le titre de ma chanson dans le spectacle se nomme : OSE et AGIS …..

Vous en 4 mots ça donne quoi ?

Gosse de 37 ans 

Je ne sais pas quel mot pourrait me définir, car ça dépend du moment mais ces 4 mots font partie de mes valeurs en tout cas : LIBERTE, HUMOUR, REVES, AMOUR.

J’ai un tatouage sur mon corps qui dit : DREAM BELIEVE CREATE SUCCEED, car je suis profondément convaincu que tout ce que le mental de l’homme peut concevoir et réussit à croire, il peut le réaliser.

Pouvez-vous nous décrire votre parcours professionnel ?

Oui j’étais un piètre étudiant et très malheureux à l’école, j’avais le profond sentiment d’être brimé dans ma liberté et très jeune j’ai senti que l’école était juste faite pour nous apprendre à fermer notre gueule pour rentrer au mieux dans ce qui doit se faire : des études, des bonnes notes, un travail sûr et se soumettre à réaliser les rêves des autres. J’aimerais que dans les écoles on arrête d’apprendre aux jeunes que des bonnes notes les définis comme des gens bien et capable de réussir , que l’échec est pour les loosers et honteux, que si tu n’as pas les notes tu es moins bien que le premier de classe…. Pour moi on ne mesure pas un être humain sur des notes, en lui posant dans son esprit qu’il est faible car il n’a pas de bonnes notes et qu’il doit travailler dur pour compenser ses points faibles, pourquoi ne lui apprenons pas à prendre conscience de ses points forts et de ses rêves et de l’encourager en lui disant : échoue le plus vite possible et encore et encore car ça te rapprocheras de ce que tu veux faire, crois en toi et fonce dans ce qui t’anime le plus. T’imagine des animaux à l’école ? avec le prof qui dit à la truite : tu es faible à la course à pied, le lièvre regarde il court plus vite que toi, il va falloir apprendre à courir, et toi l’hirondelle tu n’es même pas capable de tenir la tête sous l’eau plus d’une minute et tu ne sais pas nager, il va falloir te battre toute ta vie pour apprendre à nager….ça n’a pas de sens pour moi. J’ai très jeune eu la chance de vivre de ma passion : le fitness bien qu’on me disait que ce n’était pas un métier et bien moins honorable que d’être un médecin ou un avocat. Je n’ai pas écouté et ça fait 17 ans que je n’ai pas l’impression de travailler, je m’amuse. Et me je me fous de ne pas être avocat, promoteur immobilier ou médecin. J’ai créé mon entreprise très jeune car je voulais être libre et indépendant, mais au fond j’étais envieux du succès de certains hommes d’affaire que j’admirais sans me rendre compte que je m’éloignais de plus en plus de qui j’étais au fond de mon cœur. Tout ça est normal car je pense qu’on doit expérimenter ce qu’on ne veut pas être pour s’approcher de plus en plus de ce que l’on veut être. Aujourd’hui je sais que l’endroit où je me sens le plus vivant c’est la scène qui est pour moi un lieu où je peux m’exprimer sur mes prises de conscience sur la vie tout en faisant le con et en m’amusant. C’est trop touchant de voir des cœurs s’ouvrirent et d’amener quelqu’un en toute humilité à la réflexion sur la vie, la conscience, le rêve, le champ des possibles, les limites que nous impose la société et tellement d’autre chose. J’ai été longtemps dirigé par mon ego, ce que j’observe aujourd’hui c’est que l’ego n’existe pas pour rien, quand tu le mets au service des autres dans un projet. Par contre si tu te lances dans un projet pour satisfaire ton égo, souvent tu te casses la gueule et ça se ressent. La vie est magique et mon rêve a toujours été la scène j’ai dû attendre 37 ans pour surmonter la peur de l’échec, la peur de ne pas être légitime et à la hauteur. J’ai dû parcourir un long chemin pour faire le point sur les histoires qui ont été mise dans ma tête par le système…….

Vous jonglez entre l’humour et le coaching sportif, c’est quoi le lien et la différence majeure entre les deux ?

Pour moi il n’y a pas de différence tout est parfait, un jour on prend conscience que tout ce qu’on a fait dans la vie auparavant nous sert aujourd’hui pour la construction de notre vie, toute les pièces du puzzle sont nécessaires pour la réalisation de soi. Si tu ne sais pas pourquoi tu fais ce que tu fais aujourd’hui tu verras peut être que dans 10 ans tu le sauras, et tout te servira. J’aime le coaching, le fitness, la scène et l’humour j’ai donc créé quelque chose qui me ressemble : un SEMINACLE c’est un mélange entre un séminaire et un spectacle où je partage mes passions et mes prises de conscience en espérant que ça touchera les gens. Un moment donné de ma vie je me suis rendu compte que le coaching sportif à lui seul ne me comblait plus, j’avais envie de plus, de toucher les gens plus en profondeur que sur simplement l’aspect physique et esthétique, car nous sommes tellement plus que ça. Et ma thérapie a été de créer un séminacle dans lequel j’exploite ce que la vie m’a apporté et que je n’ai pas appris à l’école ni avec ma famille qui m’a appris bien d’autres choses, mais je ne vais pas tout dévoiler, il faut venir voir mon show pour ça.

Montagne ou mer ?

Je viens d’un petit village de montagne donc j’aime la montagne, mon père m’a appris très jeune à apprécier la montagne, je me souviens qu’il m’amenait en peau de phoque jusqu’au sommet et moi en tant qu ado, je n’aimais pas ça, j’avais mal au pied, il faisait froid et mon père devant moi me montrait la route, et je savais que malgré les douleurs on irait jusqu’en haut. C’est un apprentissage qui me sert aujourd’hui dans ma vie, on va au bout de nos projets mêmes si parfois c’est désagréable et quand on est en haut la vue est tellement belle. Belle leçon de mon papa que je remercie pour ça. Aujourd’hui j’adore la mer, et dès que l’occasion se présente je pars , je me sens bien et inspiré quand je suis seul à nager dans l’eau chaude de l’océan en Asie, en plus là-bas la bouffe est tellement bonne et saine et pour 5 balles tu reçois les meilleurs massages du monde , je kiffe trop.

Farniente ou tient pas en place ?

Pour être tout à fait honnête avec toi je dirai que je ne tiens pas en place, mais j’ai appris que c’est dans le silence et le farniente qu’on reçoit de l’univers les réponses à nos questions. Donc aujourd’hui je me planifie des temps de farniente et je me connecte à quelque chose de plus grand au fond de moi en respirant lentement et tout à coup les intuitions, les réponses arrivent. Et ensuite on agit dans la direction de ce qu’on a au fond des trippes.

Pourquoi est-ce que vous vous êtes tourné vers l’humour et pas seulement coach sportif ?

J’ai toujours utilisé les deux, je me souviens quand je donnais des cours collectifs j’avais le sentiment que les gens venaient plus au spectacle qu’au sport. Avec l’humour tout passe beaucoup mieux, on peut faire passer des messages qui sont à mon sens beaucoup mieux reçus que s’ils étaient donnés de manière académique et chantante. Alors on peut venir souffrir au sport pour faire du bien à son corps physique tout en rigolant et en s’amusant. L’humour pour moi a été un moyen d’échapper à ma grande timidité, je n’avais pas du tout une bonne image de moi, alors je prenais tout à la rigolade et j’avais l’impression d’être aimé ….. ah ce besoin de reconnaissance , cette illusion de penser que l’amour vient de l’extérieur, c’est fou tout ce qu’on peut faire pour trouver un brin de reconnaissance et de sentiment d’importance, car tu sais au fond tout ce que le petit garçon en moi a fait durant sa vie c’était pour prouver à Papa qu’il pouvait être fier de son fils, même s’il ne l’a jamais dit, c’est un chemin sans issu de vouloir prouver à quelqu’un qu’on est quelqu’un. 

 Si je comprends bien Thierry Darbellay nous veut que du bien, je ne me trompe pas ?

 Je ne sais pas, tu sais ça aussi c’est un concept, on veut toujours faire du bien et on aime à penser qu’on est des gens bien. Mais finalement qui définit ce qui est bien ou ce qui est mal ? Regarde les terroristes avec ce qu’on leur a mis dans la tête depuis tout petits ils sont intimement convaincus d’être des gens biens, et au lieu de juger je me pose toujours la question, si j’avais été dans un autre pays, avec une autre éducation d’autres croyances et bien j’aurais pu devenir ce terroriste en train de commettre des horreurs. Tout ce qu’on est et que l’on fait dans la vie est le résultat de nos croyances, enfin de celles qui ont été mises dans notre tête. Regarde les guerres, les deux parties qui se battent sont convaincues de le faire pour une bonne cause. Un jour, un coach m’a demandé : Es-tu une bonne ou une mauvaise personne ou ni l’un ni l’autre ? Cela m’a fait beaucoup réfléchir. Mais qui définit si nous sommes une bonne ou une mauvaise personne ? En fait je crois qu’on est toujours le moche ou le con pour quelqu’un et le beau et le gentil pour d’autres. Nous sommes juste des humains souvent prisonnier des histoires qu’on nous raconte. Au fond de moi j’ai envie de changer le monde et de faire quelque chose de bien à mes propres yeux, OUI de dire aux jeunes et moins jeunes que tout est possible, n’écoutez pas cette petite voix dans votre tête qui vous dit le contraire. Regardez autour de vous, il y a des gens comme vous et moi qui réalise ce que vous croyez impossible. La vie est magique, trop magique il faut garder la foi.

Mental ou physique ?

On ne peut pas dissocier les deux, nous sommes des êtres physiques, émotionnels, mentaux et spirituels. Nous avons tous des corps dont il faut prendre soin. Si nous sommes que dans le physique on sent bien qu’il nous manque quelque chose, si nous sommes que dans le spirituel avec une surcharge pondérale de 30 kg on sent bien que quelque chose cloche. Si nous sommes que dans le mental on voit bien que ça nous use aussi. On doit nourrir le corps physique par de l’activité et une bonne nutrition et hydratation. Pour ce qui est du mental, on doit le nourrir avec autre chose que tous ces conditionnements qui nous sont servis à longueur de journée par les médias. Pour ce faire on doit se tourner vers des lectures inspirantes et des reportages remplis de sens et d’espoir pour inspirer notre corps mental. Pour ce qui de notre corps émotionnel nous devons apprendre à accepter nos émotions tout comme nos colères, nos tristesses, nos joies sans nous juger car tout cela a besoin d’être vécu et accueilli. Seulement dans notre société facebookienne on nous montre que des sourires, des vacances, car c’est plus sexy que de montrer la salle gueule triste que nous faisons le matin quand nous devons partir bosser pour un patron qu’on déteste et exercer un job qui nous casse les c*** Je trouve que tout ceci manque d’authenticité, nous avons le droit de nous sentir triste en colère ou joyeux et de le dire ou de le crier. Nous sommes des humains parfaits dans nos imperfections, et tu sais la positive attitude a fait aussi beaucoup de dégât à mon sens. Nous jouons aux gens positifs alors qu’à l’intérieur de nous-mêmes nous avons envie de crier : Allez tous vous faire foutre, j’en ai marre de me sentir prisonnier d’une vie que je n’aime pas. Et pour terminer on nourrit son esprit dans les moments de silence et de contemplation de chose très, très, très simple : un chat, un chien, un océan, une montagne, le sourire d’une belle italienne, les fesses d’une belle latino etc.

Rêve ou réalité ? Le bonheur il est où quand comment et avec qui ?

Et bien c’est une excellente question tu sais. Tout commence par une idée, un rêve, un objectif appelons ça comme on veut et ensuite on agit et tout cela se transformera en notre réalité si nous avons le courage de penser vraiment à ce qui nous fait rêver et de se dire : quelle est la prochaine étape logique qui va en direction de mon rêve. Acceptons de réaliser chaque jour des actions inspirantes qui seront forcément imparfaites en direction de nos rêves, surtout n’attendons pas d’être parfait pour commencer, mais commençons pour aspirer à devenir parfait. Quelles compétences je dois acquérir pour atteindre mon rêve et go, s’entourer des personnes qui peuvent nous aider, qui ont peut-être déjà réalisé ce que tu veux et t’en inspirer pour créer la vie que tu veux. Par contre toujours rester conscient de réaliser son propre rêve sans vouloir ressembler à quelqu’un d’autre. Les autres sont déjà pris alors soyons nous même c’est là tout le chemin, découvrir qui nous sommes vraiment. Le bonheur il est à l’intérieur de nous, quand on décide comment. En appréciant et en étant en gratitude pour tout ce qui nous semble normal , notre capacité à respirer sans douleur, à voir avec nos yeux, à nous mouvoir, à ressentir, à entendre, à avoir un toit, des amis, une famille, un chat, une perruche, ou un poisson rouge, être reconnaissant pour ce qu’on a déjà sans vouloir avoir autre chose que son voisin pourrait avoir, sans vouloir toujours plus et surtout sans vouloir devenir quelqu’un. Et surtout, surtout ne pas passer sa vie à chercher le bonheur au travers de choses superficielles. Finalement si tu penses que nous n’avons pas besoin de grand-chose pour être heureux, alors cela va nous inciter à avoir du plaisir et à entreprendre des projets.

Quel est l’élément qui vous a donné envie de créer une équipe de coachs sportifs ?

Je suis intimement convaincu que c’est ensemble qu’on peut faire de grandes choses, tu vois dans mon équipe il y a des gens nettement plus compétents que moi dans certains domaines, pourquoi je ne mettrais pas ses compétences au service de notre clientèle plutôt que de tout vouloir garder pour moi ? L’EGO dans le monde du fitness m’en a fait voir de toutes les couleurs, car souvent un coach sportif ne partage pas ma vision, par peur que la concurrence lui vole des clients, avec la bonne attitude on s’aperçoit qu’il y a l’abondance de clientèle. Je veux changer le monde et ce n’est pas avec mes 20 heures de coaching par semaine que je vais pouvoir le faire, pour ça j’ai besoin des autres pour changer la vie d’un maximum de monde. Tu sais, je trouve le métier de coach sportif extrêmement important, tous les matins je me lève en me disant je vais changer le monde, je ne vais pas juste faire faire du sport à un client, je vais lui enseigner des choses pour sa nutrition, et peut être que ces choses cette personne va les partager avec ses enfants et de fil en aiguille, ces enfants-là changeront le futur, arrêterons de manger la merde qu’on nous sert dans les supermarchés et qui nous rend malade. Voilà j’ai le sentiment d’avoir indirectement fait ma part pour ces enfants qui changeront les choses.

Une musique qui ne vous quitte jamais

Tout dépend de mes humeurs, j’aime Hanz Zimmer et Ludovic Einaudi, j’aime Jon Bon Jovi, je trouve que ce mec a une aura de dingue, j’aime Freddy Mercury, Francis Cabrel, la musique latine pour la bonne humeur et Alain Morisod…… non je déconne.  J’aime la musique qui me fait me sentir bien peu importe si c’est à la mode ringard, vieux ou je ne sais quoi. J’aime les musiques qui passent un message d’espoir et d’amour et qui nous font vibrer. C’est puissant la musique, il y en a beaucoup dans mon show

Quelles sont vos influences humoristiques ?

Je trouve Jim Carrey charismatique et au-delà de l’acteur il y a un homme d’une profondeur incroyable. J’aime Jean Dujardin et son talent, j’éprouve beaucoup de sympathie pour lui, j’aime Dubosc que je trouve attachant, j’aime Jean-Claude Van Damme qui est à des années lumière de ce que le commun des mortels peut comprendre aujourd’hui, on le prend pour un con alors que pour moi il a compris tellement de choses subtiles.

Quelles qualités doit avoir un bon coach sportif ?

L’écoute, et l’écoute et encore l’écoute et la maîtrise de l’art de poser des questions en s’effaçant et en laissant le client au centre de son attention

Jour ou nuit ?

Les deux, j’ai des journées de dingues qui se termine au milieu de la nuit bien souvent, j’ai l’impression d’avoir 3 vies en unes, pas le temps pour la télé ou autre chose, j’ai encore tellement de choses que je veux réaliser, j’ai très peur du temps qui passe vite, ça me fait flipper…

Marcher ou courir

J’ai passé ma vie à courir après quelque chose qui n’existe pas, à courir après l’envie de devenir quelqu’un d’autre, aujourd’hui je marche sur mon chemin en étant attentif à ce que je ressens, pour moi. Mes émotions sont un moyen de savoir si je suis en train de marcher sur le bon chemin ou pas…

Le mot qui vous vient là maintenant tout de suite

MERCI on ne le dit pas assez souvent, comme je t’aime, c’est un mot qui est tellement difficile à dire. Nous les hommes, nous sommes capables de rouler à 250 sur un circuit automobile, de descendre des pistes de ski à tout allure, de faire des performances extrêmes, mais souvent nous ne sommes pas capables de prendre notre courage à deux main pour dire à notre enfant, notre compagne, notre mère ou notre père : Je t’aime. Pour moi le mec qui ose avoir cette vulnérabilité et qui ose dire je t’aime est le plus courageux des hommes. Le je t’aime, souvent je l’ai associé à plein de trucs, comme à de la faiblesse, je me disais si je dis, je t’aime je vais souffrir, mais en fait c’est simplement un mot qu’on dit sur un ressenti dans le moment présent c’est tout, et c’est si bon et si simple. L’amour est une vibration qui peut guérir et transformer une personne

Votre leitmotiv dans la vie de tous les jours

Passe à l’action, ose être toi et ne te soucie pas du regard des autres, fonces et réalises toi le temps passe coco et tu as déjà des cheveux gris putain……

Ce que je peux vous souhaiter aujourd’hui pour demain

Demain n’existe pas, le seul moment qui existe et sur lequel nous pouvons avoir de l’influence c’est l’instant que nous sommes en train de vivre alors souhaitons nous de le vivre simplement et pleinement.

Thierry je vous laisse le mot de la fin

Merci, merci de me donner la possibilité de m’exprimer, grâce à des gens comme toi on peut partager un message qui peut être fera un tilt dans la tête de ceux qui le liront. Je vous invite à lire cette interview plusieurs fois en ressentant ce que ces mots déclenchent chez vous et à écouter ce que vous dit votre petite voix intérieure. Je ne détiens aucune vérité puisque la vérité c’est comme notre trou de balle nous avons tous le nôtre. Lisez cette interview comme celle d’un jeune gamin de 37 ans qui exprime en toute simplicité et sans diplômes universitaire ce qu’il a observé, ressenti et déduit dans sa simple vie. Si vous voulez en savoir plus sur ce petit gars, venez voir mon séminacle, en fait je cherche quelqu’un qui voudrait m’aider à produire mon show pour diffuser mon message , ABE je profite un peu de toi pour passer l’info, la graine est plantée, la vie fera le reste.

Merci beaucoup et belle continuation

Crédit photo : Julien Gaspoz